Sirènes

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Sirènes n°7

Sirènes n°7
[ux_cb_wrap][ux_cb_text unique="1741657713714" col="12"]Monde ouvert[/ux_cb_text][ux_cb_text unique="1741657713859" col="12"]SIRÈNES N°7 - Adrien Girault[/ux_cb_text][ux_cb_group unique="1741657713928" col="0"][/ux_cb_group][ux_cb_group unique="1741657714714" col="10"][ux_cb_text unique="1741657714842" col="4"]Adrien Girault Monde ouvert 25...

Sirènes n°6

Sirènes n°6
[ux_cb_wrap][ux_cb_text unique="1738454863980" col="12"]Brûlées[/ux_cb_text][ux_cb_text unique="1738454864237" col="12"]SIRÈNES N°6 - Ariadna Castellarnau[/ux_cb_text][ux_cb_group unique="1738454864332" col="0"][/ux_cb_group][ux_cb_group unique="1738454864485" col="10"][ux_cb_text unique="1738454864570" col="4"]Ariadna CastellarnauBrûléesTraduit par Guillaume Contré10 février...

Sirènes n°5

Sirènes n°5

L’homme sans tête

SIRÈNES N°5 – Sergio González Rodríguez

Sergio González Rodríguez

L’homme sans tête

Traduit par Isabelle Gugnon
vendredi 5 avril 2024
Taille : 125 mm / 165 mm – 190p. – 12€
ISBN : 978-2-37756-199-5

Qu’ont en commun La Méduse de Caravage, les vidéos de propagande d’Al-Quaïda et l’explosion de la pratique de la décapitation au Mexique  ?

Tous se servent du motif de la décapitation pour faire passer un message et utilisent ce geste suprême comme moyen de communication. Dans L’Homme sans tête, enquête magistrale, entre essai et autobiographie, Sergio González Rodríguez, convoque les témoignages de coupeurs de têtes, de trafiquants d’armes et de policiers véreux, pour nous plonger au cœur de l’utraviolence d’un État gangrené.

Plus encore, L’homme sans tête explore le phénomène décapitatoire dans toute sa dimension sociale, religieuse, artistique, ainsi que sa violente résurgence au sein de nos sociétés contemporaines. De la guerre en Iraq aux cartels mexicains, c’est contre cette forme d’expression de l’intimidation et de pression sur une société, que sa voix s’élève.

 

Après Des os dans le désert et Les 43 d’Iguala, L’homme sans tête est le troisième volet de la tétralogie de la violence contemporaine au Mexique de Sergio González Rodríguez.

PRESSE

« L’homme sans tête », par Étienne Leterrier-Grimal, Le Matricule des Anges, février 2010 :

« Enquête dans les milieux des cartels narcotrafiquants, non-fiction, journal, essai : avec L’Homme sans tête, Sergio González Rodríguez offre donc une réflexion hétérogène sur le phénomène décapitatoire et sur l’hyperviolence du grand banditisme mexicain. Derrière cette analyse, il propose une symptomatologie du mal dont souffre le Mexique d’aujourd’hui et, plus largement, les sociétés contemporaines : fascination du gore, superstition et recul de la rationalité, nouvelle barbarie et effondrement des frontières entre représentation et réalité. »

« Les têtes raides »Livres Hebdo, le 29 octobre 2009 :

« Implacable radiographie de l’horreur contemporaine et de la violence mexicaine, L’homme sans tête fait froid dans le dos. À la fois reportage et essai, le pénétrant travail de Sergio Gonzalez Rodriguez montre la corruption à tous les niveaux d’un pays dont il dessine un bien terrible portrait. »

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Sirènes n°4

Sirènes n°4

L’orage et la loutre

SIRÈNES N°4 – Lucien Ganiayre

Lucien Ganiayre

L’orage et la loutre

Préface d’Andreas Lemaire
vendredi 16 février 2024

Taille : 125 mm / 165 mm – 264p. – 12€
ISBN : 978-2-37756-189-6

Dans un village du Périgord, après un violent orage, un instituteur découvre que le monde qui l’entoure, ainsi que tous les êtres vivants, sont figés,ce comme si le temps s’était définitivement arrêté. Livré à lui-même, l’instituteur tente, tant bien que mal, de mener une vie normale dans son village et de survivre à la folie qui le guette. Il décide finalement de rejoindre Paris à pied pour tenter d’y retrouver son seul ami d’enfance. C’est en chemin qu’il rencontrera un autre être mouvant, une loutre, qu’il tentera d’apprivoiser…

 

L’Orage et la loutre est le récit halluciné d’un voyage à travers une France immobile. L’impossibilité de contact humain que connaît le narrateur nous transporte dans l’enfer de la solitude et dans l’ambiguïté des relations humaines. Si le narrateur frôle plusieurs fois la folie, enfermé dans sa chambre et lors de son long voyage, c’est bien le souvenir d’une amitié fusionnelle, presque charnelle, qui le pousse à avancer. Derrière ce qui pourrait être un sombre cauchemar, se cache aussi un roman écologique qui questionne notre rapport à la nature et au vivant, et qui nous met face à notre incapacité à préserver ce qui nous est essentiel.

PRESSE

 

« « L’Orage et la loutre », étreintes mortelles au cœur de l’immobile » par Louise de Crisnay, Libération, le 03 juin 2015

« L’Orage et la loutre est un roman fantastique, où le surnaturel perd incidemment son préfixe quasiment à chaque ligne. Surtout dans ces scènes stupéfiantes, qui sont comme des arrêts sur image, des tableaux de rues, de paysages, d’intérieurs, remplis de silhouettes pétrifiées, saisies exactement à mi-chemin entre la vie et la mort, le mouvement et l’immobilité, où le style arrive à un tel point d’équilibre entre la banalité la plus triviale et l’étrangeté la plus absolue qu’il devient impossible de discerner, du monde, de l’auteur ou du lecteur, lequel des trois est le plus fêlé. Pour le reste (la loutre, etc.), disons juste qu’est balayé ce vieil adage selon lequel l’amitié est une base arrière imprenable et l’amour un perpétuel champ de bataille. Qui ne sait qu’une grande amitié est infiniment plus cruelle, ne serait-ce que parce qu’elle porte fatalement en elle le poids d’un amour interdit ? »
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Sirènes n°3

Sirènes n°3

La maison des épreuves

SIRÈNES N°3 – Jason Hrivnak

Jason Hrivnak

La maison des épreuves

Traduit par Claro
vendredi 03 novembre 2023
Taille : 125 mm / 165 mm – 172p. – 11€
ISBN : 978-2-37756-179-7

Un homme apprend le suicide de son amie d’enfance, Fiona, depuis longtemps à la dérive. Enfants, ils formaient un duo exclusif et étrange. Ils avaient construit un monde imaginaire et terrible, « le Terrain d’Essai », dans lequel, de manière cathartique, ils confrontaient tous ceux qu’ils soupçonnaient de leur vouloir du mal à des choix existentiels dont l’issue était le plus souvent cruelle. Rongé par la culpabilité et par la certitude qu’il aurait pu la sauver, le narrateur entreprend de continuer le carnet sur lequel étaient consignés leurs délires enfantins. Ce texte-là, à la fois tentative de rachat et de résurrection de Fiona, constitue le cœur de l’ouvrage.

Le livre se poursuit par la reprise du carnet. À travers un jeu de questions à choix multiples posées au lecteur, le narrateur imagine la suite du Terrain d’Essai. Chaque paragraphe est dédié à une situation, toujours folle et terrifiante, qui touche à quelque chose de profond et de vital, qu’il n’est possible d’atteindre que par le biais de ce jeu tordu, et qui met au jour nos ténèbres les plus essentielles. De question en question, il développe une histoire, celle que lui et Fiona aurait pu vivre, qui prend forme dans une sorte de labyrinthe narratif.

La Maison des épreuves est un livre unique, inclassable, qui provoque une expérience de lecture totalement joussive. La Maison des épreuves est un labytinthe dans lequel vous allez adorer vous perdre, découvrant peu à peu que le but n’est pas d’en sortit mais de profiter pleinement du jeu. 

LA PRESSE EN PARLE

 

« La maison des épreuves, Jason Hrivnak », par Mathilde Ciulla, Untilted Magazine, le 23 janvier 2024 : L’homme écrit La maison des épreuves pour elle, pour cette amie perdue mais aussi pour lui, pour trouver une réponse à sa culpabilité de l’avoir abandonnée il y a de cela des années et de ne pas l’avoir sauvée. Il invente une suite à leurs tentatives enfantines : un lieu qui met au défi chaque personne qui l’approche. Nous nous retrouvons ainsi face à un texte à la forme unique, suite de situations où nous sommes sommé.es de faire des choix, face à des alternatives toutes aussi farfelues et cruelles les unes que les autres.

Livre mystérieux, La maison des épreuves fascine et ne laisse pas indifférent.e, quelles que soient nos décisions.

 

« Jason Hrivnak, Jeux Pernicieux inc. », par Mathieu Lindon, Libération, 6 janvier 2017 :
Il y a quelque chose de stupéfiant dans La Maison des Épreuves.

 

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Sirènes n°2

Sirènes n°2

Des os dans le désert

SIRENES N°2 – Sergio González Rodríguez

Sergio González Rodríguez

Des os dans le désert

Traduit par Guillaume Contré
vendredi 15 septembre 2023
Taille : 125 mm / 165 mm – 448. – 13€
ISBN : 978-2-37756-164-3

Entre 1995 et 2003, une vague de féminicides sans précédent a lieu à Ciudad Juárez au Mexique. Face à l’inaction et aux mensonges des autorités, Sergio González Rodríguez enquête au péril de sa vie pour comprendre ces meurtres et les conditions de leur réalisation.

Explorant à la fois les spécificités géographiques de la ville-frontière de Ciudad Juárez, les gangs sataniques, leurs rituels, et les relations ambiguës entre les narcos et les politiciens locaux, il montre que cette violence est avant tout la traduction d’un système global qui organise les rapports de domination.

Ce narco-récit, qui mêle journalisme, essai et poésie, se dévore comme les plus grands romans noirs.

 

« Je ne me souviens plus de l’année où j’ai commencé à correspondre avec Sergio González Rodríguez. Tout ce que je sais, c’est que mon affection et mon admiration pour lui n’ont fait que croître avec le temps. […] Aujourd’hui vient de paraître son livre Des os dans le désert, un livre qui plonge directement dans l’horreur et que Sergio semble, avec un calme écrasant, n’avoir vécu que comme quelqu’un qui regarde la pluie tomber.

En réalité, plus que de la pluie, c’est un ouragan que Sergio a observé, puis en quelque sorte vécu. Son livre, non seulement ne nuit en rien à l’entreprise de ces mythes du journalisme, mais même, transgresse les règles du journalisme à la première occasion pour entrer dans le non-roman, le témoignage et la blessure. Des os dans le désert est ainsi non seulement une photographie imparfaite, et il ne pourrait pas en être autrement, du mal et de la corruption, mais se transforme en une métaphore du Mexique et du passé du Mexique, et du futur incertain de toute l’Amérique latine. C’est un livre qui ne se situe pas dans la tradition des récits d’aventures, mais dans celle des récits apocalyptiques, qui sont les deux seules traditions à rester vivantes dans notre continent, peut-être parce qu’elles sont les seules à nous rapprocher de l’abîme qui nous entoure. »

Roberto Bolano

PRESSE

 

« “Des os dans le désert”, enquête édifiante sur les féminicides de Ciudad Juárez« , Youness Bousenna, Télérama, 12 septembre 2023 :
« Documenté par Sergio González Rodríguez, transfigurée par Roberto Bolaño, cette monstruosité devient plus qu’un “crime contre l’humanité” : Cuidad Juárez devient la scène, aussi d’un crime de l’humanité. »

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Sirènes n°1

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